Mise à l’eau du nouveau Paprec Arkéa, Yoann Richomme intègre le circuit IMOCA !

Mise à l’eau du nouveau Paprec Arkéa, Yoann Richomme intègre le circuit IMOCA !

l’IMOCA Paprec Arkéa a été mis à l’eau à Lorient ce mercredi 22 février. Un instant fort, riche en émotions et fédérateur pour Yoann Richomme, l’équipe Paprec Arkéa, les partenaires et l’ensemble des acteurs mobilisés. Avec son cockpit atypique, son étrave fine et ses foils, ce monocoque puissant et élégant a été pensé afin d’être à la hauteur d’une ambition commune : emmener Yoann au sommet de l’Everest des mers, le Vendée Globe, en novembre 2024.  Un grand moment pour le skipper qui d’une part fait son entrée dans la Classe IMOCA et d’autre part à la chance d’avoir entre les mains un IMOCA flambant neuf grâce au soutien de ces deux partenaires Paprec et Arkéa.

L’instant est chargé en symboles, de ceux qui fédèrent et qui se vivent en pleine lumière avant de goûter aux joies de l’océan et des émotions qui vont avec. Ce mercredi 22 février a eu lieu la mise à l’eau de l’IMOCA Paprec Arkéa, l’aboutissement d’un projet de 20 mois dont 16 de chantier. Sous les yeux de Yoann Richomme, des représentants et collaborateurs de Paprec et d’Arkéa, de l’équipe technique, des architectes Antoine Koch et le cabinet Finot-Conq, des sous-traitants de la filière maritime ayant œuvrés sur le bateau, c’est le fruit d’un travail intense qui s’est révélé à tous !

« Une longue histoire que l’on écrit ensemble » 

Pour le skipper, impatient de se confronter au large à bord de son tout premier IMOCA, le moment est forcément chargé en belles émotions. « On mesure tout le chemin parcouru, souligne Yoann. Nous mettons à l’eau le plus beau bateau et on espère le plus performant. Il y a beaucoup de fierté parce qu’il représente un investissement de tous les instants de la part de chaque membre du bureau d’études et de l’équipe technique. C’est une longue histoire que nous écrivons ensemble. On se doit d’être reconnaissant envers nos partenaires qui ont cette vision et envers tous ceux qui nous ont accompagnés jusque-là ».

Yoann et le team Paprec Arkéa souhaitaient un bateau pour être à la hauteur d’une ambition : « pouvoir être le plus performant possible au prochain Vendée Globe » dans vingt mois. « Nous sommes conscients de placer la barre très haute, d’autant que certains de nos concurrents naviguent depuis 4 ans sur des bateaux de modèle 2020. On a un retard à rattraper », explique-t-il avec humilité. Le résultat est là ! L’IMOCA détonne : c’est un concentré de technologie, un savant cocktail entre innovations et choix techniques aussi osés que mûrement pensés.

Un cockpit particulièrement novateur 

L’étrave, fine et gracieuse, est ainsi ‘tulipée’ afin de conserver une vitesse élevée dans la mer formée. « Ça se rapproche du design des coques de bateaux à moteur qui naviguent en étant très à plat. L’idée, c’est d’enfourner le moins possible, d’avoir le moins d’eau sur le pont et de l’éjecter au maximum sur les côtés ».

Ce qui suscite l’attention, surtout, c’est ce cockpit particulièrement novateur. Il a en effet été plus avancé pour que Yoann soit « au cœur de l’action ». Manœuvre, veille, repos… Tout sera assuré dans cette zone « semi-étanche », au centre du bateau. « On en est très fier, sourit le marin. Grâce à cet effort d’ergonomie et d’optimisation, on essaie de réduire au maximum les mouvements nécessaires à bord », précise-t-il.

Globalement, il y a donc une volonté d’améliorer les performances au portant. Le design de la coque mais aussi celui des foils – « ils sont tolérants, capables de conserver leur efficacité et de reprendre leur mode volant rapidement après le passage des vagues » – qui contribuent à « maintenir une vitesse plus élevée » et donc à « gagner en efficacité au portant ». Il s’agit en effet d’un des enjeux techniques essentiels afin de jouer les premiers rôles lors du prochain Vendée Globe.

Paprec et Arkéa, « sources de motivation » 

À l’heure de cette mise à l’eau, Yoann mesure aussi le chemin parcouru, la « complexité de monter un tel projet ». C’est la troisième fois qu’il met à l’eau un bateau neuf mais c’est la toute première en IMOCA. Avec toute l’équipe, le bureau d’études, l’architecte Antoine Koch et le cabinet Finot-Conq, le chantier Multiplast et les dizaines de prestataires impliqués, le challenge a été plus collectif que jamais. « Les phases de conception et de construction ont été passionnantes, apprécie le skipper. Pouvoir tirer des bords avec ce tout nouvel IMOCA, ça va être dingue et magique ! » Un enthousiasme lié également au soutien sans faille de Paprec et d’Arkéa dans l’aventure.

La voile fait partie de leur ADN, souligne Yoann, sourire aux lèvres. On a la chance d’être soutenus par des passionnés, qui connaissent la rudesse et les aléas de notre sport. Contribuer à faire vivre cette passion auprès des collaborateurs, ce sera une source de motivation supplémentaire à l’avenir

Avant de prendre la mer, il faudra se montrer patient. Des tests statiques seront réalisés en fin de semaine prochaine puis suivront des tests à 90° avant de naviguer enfin. La première compétition de Yoann est prévue en mai, lors de la Guyader Bermudes 1000 Race.

LE CALENDRIER DE L’IMOCA PAPREC ARKEA EN 2023

  • 7 mai : Guyader Bermudes 1000 Race
  • 22 juillet : Rolex Fastnet Race
  • Du 20 au 24 septembre : Défi Azimut – Lorient Agglomération
  • 29 octobre : Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre
  • 22 novembre : Retour à la Base

Vainqueur en Class40 de la 12ème Route du Rhum – destination Guadeloupe

Vainqueur en Class40 de la 12ème Route du Rhum – destination Guadeloupe

Après sa victoire en 2018, le skipper de Paprec Arkéa conserve son titre à l’issue d’une remontada historique !   En remportant ce mercredi la mythique transatlantique après 14 jours, 3 heures et 8 minutes en mer, Yoann Richomme entre dans l’histoire. Le skipper devient le 1er skipper à conserver son titre en Class40 et le 5e marin à inscrire à deux reprises son nom au palmarès de la course. De quoi boucler la page sportive du Class40 de la meilleure des manières avant de se projeter avec enthousiasme vers un nouveau pari : l’IMOCA et le Vendée Globe 2024.

Un doublé à l’arrivée avec l’effusion de joie de circonstance. Après avoir franchi la ligne d’arrivée ce mercredi, à 12 heures 23 minutes et 49 secondes (heure locale), soit 17 heures 23 minutes et 49 secondes (heure de Métropole).

Yoann Richomme entre dans le club très fermé des doubles vainqueurs de l’épreuve. Déjà deux fois lauréat de de la Solitaire du Figaro, il soulèvera en effet le trophée de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe quatre ans après son premier succès. Il s’est d’ailleurs montré plus rapide qu’en 2018 de 2 jours et s’offre le record de la course en Class40.

Les premières réactions de Yoann 

« Il y a beaucoup de fierté. Je pensais vraiment que le doublé était dur à aller chercher. Il faut réunir tellement d’ingrédients, tellement de petits détails pour y arriver. J’étais confiant sur la capacité à faire un bon résultat mais l’emporter, je pensais que ça allait être un autre dossier. En plus, étant donné que je me suis tiré une balle dans le pied d’entrée, qui m’a coûté 4 heures de pénalité, ce n’était pas bien parti. Après, le scénario s’est bien déroulé. J’étais vraiment dans le domaine que j’aimais bien, de gestion de la météo un peu bourrin avec la succession de front qui a été très violents, à l’image des casses et des abandons. À chaque minute de la régate, je me suis dit : « je vais le casser ce bateau, je ne vais pas terminer », même avec 100 milles d’avance. Même là, entre les Saintes et la Guadeloupe où on a pris un grain fort. Ce n’était pas possible, je ne pouvais pas le casser là le bateau ! Il y a donc beaucoup de fierté à l’arrivée. C’est notre première régate avec l’équipe Paprec Arkéa, c’était notre challenge. On n’était pas obligé de faire cette aventure, on aurait pu rester tranquillement à préparer notre IMOCA. Nous voulions préparer la saison du mieux possible et préparer la suite et on l’a fait. J’en suis vraiment très heureux ».

Une préparation express et sans accroc

L’histoire est d’autant plus belle qu’elle a pris corps il y a moins d’un an quand l’équipe de Paprec Arkéa réfléchissait au programme sportif que pouvait suivre Yoann pendant la construction de l’IMOCA en cette année 2022. Défendre un titre aussi prestigieux que celui acquis à la Route du Rhum était un challenge aussi riche en sens qu’en symbole.

Le Team s’est donc attelé à lui donner corps en lançant la construction d’un Class40, un plan Lombard, mis à l’eau en juillet dernier. Si la préparation express s’est déroulée sans accroc, c’est qu’aucun détail n’a été négligé. Yoann s’était entraîné avec Corentin Douguet, l’équipe technique s’est mobilisée et les belles prestations à la Dhream Cup (4e) et à la 40 Malouine (2e) ont contribué à la montée en puissance et à la mise en confiance.

Le temps de la ‘remontada’

Il restait le plus difficile : être à la hauteur des espérances et des espoirs attendus. Pourtant au départ, Yoann s’est fait surprendre, pénalisé pour avoir coupé la ligne trop tôt. Qu’à cela ne tienne : il s’immobilise quatre heures pour effectuer sa pénalité, s’excuse auprès du Team dans une vidéo et relance la machine. « Je vais devoir cravacher », assure-t-il. Des paroles aux actes, le skipper de Paprec Arkéa met les bouchées doubles. Surtout, il est récompensé de ses efforts en grappillant les places une par une. C’est le temps de la ‘remontada’, de la pointe bretonne au golfe de Gascogne. La récompense a lieu le dimanche 13 novembre, en fin d’après-midi : le Class40 Paprec Arkéa pointe enfin en tête.

Si elle est si impressionnante, sa progression est pourtant tumultueuse à bord. Intégralement conçu pour la performance, les bateaux sont particulièrement rudes pour les organismes. « Il faut s’imaginer sur une route lancée à 70 km/h avec des dos d’ânes tous les 100 mètres et des grands tonneaux métalliques dans le coffre qui s’entrechoquent », aime rappeler Yoann.

Pourtant, le marin tient bon, il fuse dans les alizés et imprime un rythme d’enfer à l’avant de la course, comptant jusqu’à 120 milles d’avance sur ses poursuivants. Sa concentration extrême, même lors de ce long dernier bord vers la Guadeloupe, lui a offert le luxe d’aborder le tour de la Guadeloupe, si piégeux, avec sérénité.

Une incroyable récompense collective

Ainsi donc, Yoann a été accueilli avec les honneurs réservés aux vainqueurs de la Route du Rhum ce mercredi comme il y a quatre ans. Il est le seul à avoir réussi cet exploit en Class40, le seul à l’avoir réalisé dans la même classe avec Laurent Bourgnon et Erwan Le Roux. Dans le club très fermé des doubles vainqueurs, on trouve aussi Roland Jourdain, Lionel Lemonchois, Franck-Yves Escoffier et tout récemment Thomas Ruyant.

Si le talent du skipper y est pour beaucoup, ce succès est aussi une incroyable récompense collective. La capacité du team à dérouler le fil de cette aventure sans accroc est une satisfaction, tout comme celle de mener ce projet en parallèle de la construction d’un IMOCA. Cette équipe, née il y a 15 mois, réunit des talents et des savoir-faire reconnus, montre aussi sa capacité à se dépasser, à se fédérer et à faire preuve d’efficacité et de cohésion.

La réussite de ce challenge est donc une expérience de plus, un acquis et des souvenirs qui seront si précieux pour envisager l’avenir avec le maximum d’enthousiasme et de sérénité. Et celui-ci s’annonce tout aussi exaltant : dans quelques mois, Paprec Arkéa mettra à l’eau un IMOCA neuf, fruit d’une réflexion et d’un travail passionné entre tous les membres du Team. Bientôt, Yoann Richomme prendra la barre et retrouvera l’océan. Bientôt, il retrouvera la fièvre des courses et une nouvelle bataille qui devrait l’emmener vers le plus prestigieux des tours du monde, le Vendée Globe 2024. Bientôt, la Route du Rhum ne sera qu’un chapitre en plus, si enjoué soit-il, d’une formidable aventure humaine et collective.

Sa course en chiffres :

  • Temps de course : 14 jours, 3 heures, 8 minutes et 40 secondes
  • Vitesse moyenne sur l’orthodromie (route directe) : 10,44 nœuds
  • Vitesse moyenne réelle : 11,81 nœuds
  • Milles parcourus : 4 000,34 milles

Yoann Richomme sera le skipper du nouvel IMOCA PAPREC ARKEA pour le Vendée Globe 2024

Yoann Richomme sera le skipper du nouvel IMOCA PAPREC ARKEA pour le Vendée Globe 2024

Paprec et Arkéa renforcent leur engagement dans la course au large pour mener une nouvelle campagne pour le Vendée Globe 2024. C’est une grande première dans le monde de la course au large puisque les deux groupes ont choisi de créer leur propre structure basée à Lorient, au cœur de la SailingValley. Yoann Richomme, vainqueur de la Solitaire du Figaro à deux reprises, de la Route du Rhum en Class40 et de The Ocean Race Europe en VO65 a été choisi pour être le skipper du nouvel IMOCA PAPREC ARKEA dont la construction débutera en 2022.

Paprec et Arkéa lancent une structure commune de course au large, établie à Lorient

Déjà présents ensemble sur le Vendée Globe 2020, Paprec et Arkéa s’engagent dans une nouvelle campagne pour le Vendée Globe 2024 : nouveau skipper, nouveau bateau, nouvelle équipe et une structuration originale avec la création d’une filiale commune entre les deux groupes qui entendent co-construire ce nouveau projet.

« Chez Paprec, nous sommes présents depuis plus de vingt ans dans l’univers de la voile et de la course au large. Ces aventures maritimes sont à l’image de l’ADN du groupe : elles célèbrent le dépassement de soi, la force de l’engagement individuel et collectif. Comme pour le développement du groupe, nous misons sur le long terme. C’est pour cela que nous avons franchi le pas de créer notre propre équipe avec Arkéa, un partenaire qui partage notre vision d’excellence. Ensemble, nous souhaitons façonner un projet à notre image, un projet ambitieux et performant qui s’appuie sur l’humain. »
Sébastien Petithuguenin
Directeur Général Paprec Group

Paprec et Arkéa souhaitent, à travers cette démarche commune, construire un projet pérenne et engagé autour des valeurs de performance et d’innovation. A l’image des deux groupes en plein développement, la structure, dirigée par Romain Ménard, vise à créer le contexte le plus favorable possible sur le plan humain, technologique et logistique pour accompagner Yoann Richomme et PAPREC ARKEA dans la quête de l’excellence. La volonté sera aussi de partager le projet sportif et l’aventure humaine avec le plus grand nombre. Le Vendée Globe a, en effet, connu cette année un immense succès populaire qui le place parmi les événements sportifs les plus partagés avec le grand public.

Le recrutement de talents et des choix technologiques pour inscrire le projet dans la performance sportive

C’est Yoann Richomme, skipper talentueux et expérimenté, qui mènera le nouvel IMOCA PAPREC ARKEA. Architecte naval de formation, Yoann compte de très belles victoires à son palmarès sur divers circuits de course au large en solitaire et en équipage. Parmi ses principaux faits d’armes, il s’est imposé par deux fois sur l’exigeante Solitaire du Figaro (2016 et 2019) et sur la Route du Rhum en 2018 en Class40.
Même s’il avoue que le Vendée Globe n’était pas un rêve d’enfant au départ, celui qui voulait devenir menuisier envisage ce projet comme un accomplissement dans sa carrière. Armé d’une vaste expérience du large, de compétences entrepreneuriales indéniables et d’une motivation sans faille, le natif de Fréjus ne s’est jamais senti aussi prêt qu’aujourd’hui pour mener à bien une campagne ambitieuse pour le tour du monde en solitaire sans escale et sans assistance.

« J’avais évidemment suivi le parcours de Yoann. C’est un marin brillant qui compte parmi le cercle très fermé des doubles vainqueurs de la Solitaire du Figaro. Ce qui est intéressant chez lui, c’est qu’il a aussi une vision entrepreneuriale. Au-delà du palmarès, c’est donc aussi sa personnalité qui nous a séduit. Nous croyons fort en la capacité de Yoann à fédérer, diriger, performer, partager et représenter. Nous sommes vraiment très satisfaits de pouvoir attaquer cette deuxième campagne dans un cadre que nous avons choisi et défini pour construire un projet leader.»
Cédric Malengreau
Directeur Général d’Arkéa, Partenaire communication et synergies des filiales du groupe Crédit Mutuel Arkéa

Avec ce nouveau projet, Yoann Richomme et ses partenaires visent les places d’honneur sur le prochain Vendée Globe. La construction d’un nouvel IMOCA sera donc lancée dès le début de l’année 2022 selon les plans d’un collectif d’architectes.

« Nous avons choisi les architectes début juillet », précise Yoann. « Nous sommes tombés d’accord, les sponsors, Romain et moi, en quelques jours seulement. Nous avons choisi Antoine Koch et le groupe Finot-Conq et nous nous sommes greffés sur un projet en cours de gestation, celui de Thomas Ruyant. Nous essayons de trouver des synergies entre nos équipes pour avancer intelligemment. Les moules du nouvel IMOCA sont en cours de production, nous les recevrons en janvier et un créneau est réservé chez Multiplast, à Vannes, pour début 2022. La construction du bateau va prendre un an. »

Une année pendant laquelle Yoann sera très investi auprès de l’équipe qui se forme autour de lui. Deux ingénieurs l’ont déjà rejoint, Gautier Levisse, Responsable Bureau d’Études et Simon Troël, Responsable Technique. « Nous travaillons à construire un bateau solide pour passer plus de temps sur l’eau qu’en chantier : toujours facile à dire mais difficile à faire ! » poursuit Yoann. « Notre IMOCA se veut être un bateau marin qui passe bien dans la mer, ce qui n’est pas chose aisée avec ces machines qui atteignent plus de 30 nœuds. Nous faisons en sorte que ce soit un bateau qui plante moins que ceux de la dernière génération qui avaient tendance à recevoir beaucoup d’eau sur le pont. Nous avons vu des développements très intéressants notamment en Class40 ces dernières années. Je me suis tenu au courant de ces évolutions en allant naviguer et je sais aujourd’hui que les décisions que l’on prend sont liées à des expériences personnelles et non des éléments virtuels. C’est rassurant. »

Après la mise à l’eau prévue début 2023, PAPREC ARKEA participera à toutes les courses du calendrier IMOCA en double puis en solitaire avant de s’aligner au départ du Vendée Globe en novembre 2024 « avec, on l’espère, un projet gagnant, un très bon niveau de préparation et sans regrets » conclut Yoann Richomme.